A l'occasion des journées de l'architecture, les 16, 17 et 18 octobre, les entrées et visites guidées de l'église Saint-Pierre et de la maison de la culture, à Firminy, seront gratuites. A noter une visite décalée intitulée : « Moi, j’aime pas Le Corbusier ! » C'est une visite nouvelle, un peu insolite qui entend prendre le contre-pied d’une visite classique. « Parce que les réalités d’un chantier, ce sont aussi des erreurs, des malfaçons et des défauts de l’architecture (et de l’architecte) », indique le site Le Corbusier.
Vendredi 16 octobre à 16h, choisissez votre visite:
Samedi 17 et dimanche 18 à 14h : visite décalée. A 10h30 et 15h30 : visite classique.
Réservation conseillée : 04 77 61 08 72. Durée : 1h15.
Gratuit.
L'accès à l'unité d'habitation (appartement-témoin, école et toit-terrasse) reste payant (10 euros/8,50 euros) et la réservation est obligatoire.
Photos : archives FI
Le site internet de l'Institut National de l'Audiovisuel (INA) permet la consultation en ligne de dizaines de milliers d' heures d'enregistrement. Une infime partie des fonds de l'INA, riches de millions d'heures de programmes télé et radio. Voici une petite sélection d'images (ORTF, Antenne 2, France 3, AFP...) concernant la Loire.
Lire la suite : " Et c'est là que tout s'emballe..." (dans les fonds de l'INA)
Dans l'originale collection « Balades géologiques » qui compte plus d'une trentaine de titres répartis sur toute la France, les éditions Biotope ont sorti un fascicule assez passionnant consacré à Saint-Etienne. On le doit à Pierre Habig et Georges Vitel.
Voici donc, avec plusieurs mois de retard, la nouvelle exposition du Musée d'art et d'industrie de Saint-Etienne. Celui-ci, avec quelque 3000 pièces de toutes sortes, compte la plus grande collection d'armes après le musée de l'Armée à Paris.
L'exposition temporaire « Armes pour cible, entre répulsion et fascination », n'expose, concernant les armes, que des armes à feu, longues, de chasse ou de guerre, et des lanceurs de balles de défense. Elle vient en complément de l'exposition permanente et couvre la période de 1820 à nos jours. 1820 est l'année qui vit Claude Verney remporter le premier prix d'un concours. Diane, la déesse de la chasse que le fondateur de l'entreprise stéphanoise avait alors sculptée sur une crosse, sert logiquement de fil conducteur.