
Laquelle mairie au demeurant, ne doit plus, en aucun cas, servir de logement au maire. Cette loi devait amener de nombreuses constructions et le pays " se couvrit d'un blanc manteau de mairies et d'Hôtels de Ville " (sourire). Parfois, ce sont des anciens lieux de culte et bâtiments divers qui furent utilisés pour satisfaire à leurs nouvelles fonctions républicaines. Nous vous proposons ici d'évoquer l'histoire de quelques édifices ligériens.
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Nous débutons notre petit tour d'horizon avec l'Hôtel de Ville de Rive-de-Gier dont l'environnement en faisait un des plus remarquables de France. Au milieu du XIXe, la municipalité ripagérienne était installée rue du Platre (aujourd'hui rue Victor Hugo). Elle déménagea ensuite dans l'immeuble Berthenod qui abrite l'actuelle Caisse d'Epargne. Trop à l'étroit, le Conseil municipal vota à l'unanimité l'achat de l'Hôtel du Canal (3 octobre 1890) et l'inaugura le 4 février 1892. En même temps que les services municipaux, le bâtiment abrita également la Gendarmerie, les services de Police, le bureau des Postes, la Bibliothèque.







A Charlieu, la mairie occupe un ancien hôtel particulier bâti au XVIIIe siècle. C'était celui de la famille de La Ronzière.


Ancienne mairie du Chambon en face de l'église
Le 24 avril 1910, après des élections législatives, elle est incendiée par des émeutiers. Le maire est alors Claudinon, un industriel, et depuis plusieurs semaines la cité est en état d'insurrection. Deux bataillons d'infanterie, deux escadrons de dragons, deux cent gendarmes y cantonnent en permanence. Les maisons des patrons sont incendiés, leurs usines vandalisées. Les grandes heures de la vallée rouge ! Autour de la mairie qui flambe comme un feu de joie, la foule empêche les pompiers d'intervenir. Les archives municipales ont été réduites en cendres.


Le bâtiment réhabilité fut occupé par la municipalité jusqu'en 1923. Jusqu'à ce qu'elle décide de s'installer dans l'ancien hôpital - hospice - où l'Hôtel de ville se trouve encore actuellement, après de nombreux aménagements (7-8). Une salle des fêtes fut aménagée au rez-de-chaussée pour y donner des bals et des concerts. Elle exista jusqu'en 1956, pour laisser la place aux services administratifs. La salle du conseil municipal et des mariages se trouve à l'étage. En 1999, le bâtiment était entièrement rénové et un bâtiment de 900 m2 construit à la place de l'annexe.



La commune de La Talaudière fut créée en 1872. Sa première mairie était située à l'étage d'un bistrot, le café Gallet devenu plus tard café Jutier. En 1925, elle s'établit place Gambetta à l'emplacement de la poste actuelle (3e poste de la commune). La mairie actuelle fut bâtie en 1989. Et son extension en 1997.
La mairie d'Usson-en-Forez occupe ses locaux depuis 1970. La décennie précédente, elle habitait un bâtiment annexe de la maison de retraite. En remontant dans le temps, elle était située près de l'école publique et des bains douches.
L'Hôtel de ville de Feurs fut construit en 1844 alors que Joseph d'Assier était maire. Lisons Auguste Broutin dans Histoire de la ville de Feurs: "Il sentit le besoin d'un hôtel de ville. Feurs, en effet, chef-lieu de canton, circonscription électorale, tribunal de justice de paix ne pouvait offrir aux fréquentes et nombreuses réunions qui se tenaient dans ses murs qu'une salle empruntée à l'hôpital. Bien que la nécessité d'un hôtel de ville fût généralement sentie, le projet de M. d'Assier rencontra une vive opposition auprès des trois plus riches propriétaires de la commune. L'un redoutait un emprunt dont il aurait payé une bonne part, l'autre était jaloux d'une amélioration qu'il n'avait pas eu la pensée d'entreprendre, et le troisième, ennemi de tout progrès, voyait une entreprise inutile dans cette importante amélioration. Le conseil municipal jugea plus sainement et seconda de tout son pouvoir le projet du maire. Après trois ans de travaux dirigés...la commune fut dotée d'un édifice qui, par la beauté de ses matériaux, la solidité de sa construction, la sévérité de ses proportions, et surtout sa distribution intérieure, annonce un édifice communal. Un perron de cinq marches, un beau vestibule, un large escalier, satisfont à tous les besoins des services qui y sont installés. Deux cachots et le logement du concierge, un entresol destiné à un fonctionnaire, une grande salle d'élection, occupent la moitié de l'édifice. Dans l'autre partie, l'architecte a su trouver, au rez de chaussée, un beau corps de garde et deux cabinets pour le secrétariat de la mairie; à l'entresol, le cabinet des archives; au premier étage, la salle d'audience du tribunal de paix et un cabinet particulier pour le juge, et au-dessus du vestibule , un beau cabinet éclairé par la grande porte du balcon. Ce cabinet deviendra, plus tard, je l'espère, un musée où les habitants de Feurs se feront un devoir de venir déposer les antiquités romaines dont notre sol est si riche ..... La construction de l'hôtel de ville coûta à la commune un peu plus de cinquante mille francs. M. d'Assier put faire face à la dépense avec les revenus ordinaires et un impôt supplémentaire de dix centimes par franc pendant dix années..."
Ramet et Guichard, dans Feurs, précisent: "... l'administration d'Assier fut particulièrement féconde. L'hôtel de ville date de 1844; il fut construit en partie avec les matériaux provenant du château de Donzy, en particulier avec des moellons triés, arrachés, au parement du donjon. Lorsqu'on s'aperçut, en haut lieu, de ce vandalisme, il était trop tard..."


La mairie de Feurs au début du XXe siècle. La statue du colonel Combes a été légèrement déplacée.






En 1976, alors que la commune compte à peine plus de 4000 habitants, elle est rénovée et aménagée. La construction du centre culturel permet de libérer de l'espace (salle des fêtes) et d'entreprendre l'agrandissement et l'aménagement d'une mairie devenue exigüe et non fonctionnelle. Entre 1985 et 1987, les garages sont construits à l'intention des services techniques et les bureaux sont agrandis. Entre 1991 et 1992 (7 284 habitants), l'intérieur est réaménagé. En 2007, le soin apporté à la traversée et aux espaces publics ont permis de mettre en valeur ce joli petit bâtiment.
La mairie et le groupe scolaire actuels de Champdieu ont été construits entre 1903 et 1904 (ci-dessus). Ils occupaient jusqu'alors une grande maison située non loin, en bord de rivière.
La commune de Terrenoire a été créée par un décret impérial de Napoléon III en 1866. Elle a fusionné le 1er janvier 1970 avec la ville de Saint-Etienne. Sa mairie, au 6 rue Jules Ferry, a été dessinée par l'architecte Léon Lamaizière. Ses plans ayant été approuvés par le Conseil municipal le 14 janvier 1902, sa construction a débuté en 1902 pour s'achever en 1904. Son soubassement est en grès. Le perron de la façade principal, dessiné par Marcel Lamaizière, est en grès houiller bouchardé. Il a été réalisé par l'entreprise Roux. L'entreprise Gachon et Champagnat a réalisé la charpente et les menuiseries.

Nous avons peu d'informations concernant l'actuel Hôtel de Ville de L'Horme, sinon qu'il a été inauguré en 1933 en présence de plusieurs personnalités dont M. Graux, préfet de la Loire, Louis Soulié, ancien sénateur-maire de Saint-Etienne, M. Drivel sénateur-maire de Feurs (photo). Le maire de la commune était à l'époque M. Riche. Rappelons que la commune est relativement récente. Elle a été créée par le décret promulgué au JO le 14 février 1905, lequel consacrait la division du territoire de Saint-Julien en Jarret, comme on écrivait alors. Le 13 mars, la première mairie s'installait dans une des salles de l'école publique au premier étage. André Langard fut le premier maire élu.


L'actuelle mairie de Saint-Marcellin en Forez est située dans les remparts qui jouxtent la Maison de l'Armorial. Elle a été inaugurée en 2004 sous la municipalité Laurent, à la même époque que l'espace muséographique. L'ancienne mairie est un exemple typique de mairie-école, avec son horloge et son clocheton. Le conseil municipal décida sa construction en 1873. Le 1er octobre 1890, l'instituteur y ouvrait l'école communale des garçons. Elle déménagea dans ses nouveaux bâtiments, l'actuelle école mixte de la place Sainte-Catherine, en 1960. La moitié du bâtiment est encore occupé par la poste.



En 1877, les Maristes, dont le bail arrive à échéance, investissent le collège Sainte-Marie qu'ils ont fait construire. En janvier 1878, les services municipaux retrouvent les lieux, ainsi que la Justice de Paix, les Prud'hommes, l'école communale de filles, la Caisse d'Epargne et l'Ecole communale de garçons ! Dans ce même édifice, une école professionnelle est créée en 1879. Son premier directeur léguera son nom au Collège dont le nouvel établissement fut achevé dans les années 1960 : Claude Lebois. La Caisse d'Epargne quitta les locaux en 1901. Les tribunaux à la fin des années 1970 quand ils prirent possession de l'Hôtel-Dieu rénové.
L'Hôtel de Ville a conservé de l'ancien couvent une partie de son cloître. A l'origine fermé par quatre ailes, l'aile sud a été détruite par les Maristes en 1862. Actuellement, le bâtiment a gardé cette forme en U avec une cour intérieure donnant sur le jardin des plantes. Courant 2007, des travaux devraient débuter pour mettre en valeur l'ancien cloître.

L' Hôtel de Ville de Montbrison, à l'origine, abritait la communauté des Cordeliers. Le couvent, fondé au XIIIe siècle, fut le plus ancien de la cité et, dit-on, le troisième de sa règle établi en France. Grâce aux libéralités des comtes de forez successifs et des seigneurs de Lavieu, les religieux firent élever les bâtiments massifs que l'on peut encore voir de nos jours. Trois corps les constituaient: le bâtiment central, l'église qui se trouvait dans l'aile sud et qui abritait les tombeaux des familles nobles du Forez, l'aile nord qui comportait les cellules et dépendances. Le cloître fut construit en 1282 grâce aux dons d'une riche habitante, Marguerite Chapuis dont le fils était au couvent.

Le couvent a connu des heures sinistres. En 1522, la peste contraignit les religieux, fort appréciés par la population pour leur implication dans la vie de la cité, à déserter le couvent durant une année. Pendant les guerres de religion, ils furent la cible de massacres. En 1634 et 1731, des incendies ravagèrent l'église et la foudre, en 1768, frappa le clocher. En 1791, les moines furent chassés par les sans-culottes. Le couvent, racheté par la municipalité, fut converti en théâtre dans sa partie supérieure, en halle à grains dans sa partie basse. Le théâtre devint ensuite une salle des fêtes et le rez-de-chaussée abrita les véhicules municipaux.

L'aile nord abrita la première école normale du département puis une école publique de filles. Aujourd'hui s'y trouvent les bureaux de la mairie, des salles de réunion et l'Office de tourisme. Des travaux importants y furent menés entre 1986 et 1989 par les architectes lyonnais Jourda et Perrudin. La salle Renaissance et sa cheminée du XVIe, ainsi que l'escalier monumental (XVIIIe) du hall d'entrée furent mis en valeur.

La « maison commune » de Roanne a connu au fil du temps différentes physionomies. C'est d'abord l'ancien couvent des Capucins (image), dont il ne reste rien de nos jours, qui a abrité la mairie entre 1800 et 1874. Le couvent avait été fondé entre 1633 et 1637 et abrita la première communauté religieuse de la cité. Les bâtiments accueillirent également le Tribunal de 1800 à 1810, la sous-préfecture de 1800 à 1824 puis la caserne de gendarmerie. Y fut installé aussi le premier musée de la ville, fondé en 1844 par Fleury Musant partir de collections personnelles. En 1874, lors de la destruction complète du bâtiment, le musée fut transféré au 2ème étage du nouvel Hôtel de Ville, jusqu'en 1923, date de son installation dans l'immeuble Déchelette.


Le couvent des Capucins était construit en pisé et en mauvais état. Il fut d'abord envisagé de transférer la mairie dans l'immeuble de la sous-préfecture mais le projet resta sans suite. En 1860, Charles Bouiller mit sur pied un programme de grands travaux qui incluaient la construction d'un nouvel Hôtel de Ville. Un concours fut ouvert et pas moins de 35 architectes concoururent. C'est Edouard Corroyer, élève de Viollet le Duc qui l'emporta lors de la réunion du conseil municipal du 5 mai 1862. Un an et un jour plus tard, un emprunt d'un million de francs fut contracté et l'aménagement du terrain et la construction d'un futur Hôtel de Ville débutèrent. La guerre de 1870 ayant interrompu les travaux, il fallut attendre le 25 octobre 1874 pour que le bâtiment soit inauguré. Il est conservé dans son état d'origine et présente un effet de polychromie des tons tranchés de la pierre calcaire blanche et de la lave bleuâtre de Volvic. Une disposition semblable à celle de l'église Notre-Dame des Victoires, construite à la même époque. C'est dans ce bâtiment que se trouve le bureau du maire, des élus et le secrétariat général..

La construction du Centre Administratif, rebaptisé en 2003 Centre Administratif Paul Pillet en hommage à l'ancien maire fut entreprise en 1982, l'Hôtel de Ville étant devenu trop exiguë pour loger tous les services.
A Champdieu, la mairie a pris place dans le bâtiment des anciennes écoles communales (filles et garçons séparés) construit entre 1903 et 1904.
Que de chemin parcouru encore à Riorges pour arriver à la superbe mairie actuelle ! C'est d'abord un modeste bâtiment agricole, loué en 1790 à un fermier, qui tint lieu de "maison commune". En 1878, le maire, Monsieur de Foudras, fait "don" à ... lui-même d'un petit bâtiment situé près de l'église. Mais les réunions du conseil municipal, faute de place, ont lieu au restaurant d'en face ! Cet immeuble devait abriter par la suite l'école de garçons avant d'être détruit en 2003.


Au début des années 50, on projette la construction d'un nouvel Hôtel de Ville mais les finances de la commune ne le permettent pas. Il faut attendre 1971 pour voir enfin aboutir la construction d'un "centre civique", l'actuel hôtel de ville. Une salle des fêtes devait être attenante mais n'a jamais été réalisée. En 1985, face au développement de la commune et de ses services municipaux, le bâtiment est entièrement restructuré tel que nous le connaissons aujourd'hui.
En 2001, un parvis et des aménagements extérieurs ont été réalisés pour accueillir les administrés dans un cadre très agréable.
La première mairie de Bourg-Argental fut installée dans la demeure nommée "Maison du Châtelet", achetée à la famille Bellet de Saint-Trivier le 19 novembre 1853. Celle-ci abrite de nos jours l'Office du Tourisme. L'Hôtel de Ville actuel est installé depuis 1911 dans un bel immeuble néo-gothique. Il s'agissait à l'origine du palais d'été du cardinal Donnet. Le prélat, archevêque de Bordeaux et bienfaiteur de la petite ville dans laquelle il naquit en 1795, acheta l'emplacement en 1843. La demeure est remarquable par sa petite tour d'angle, à la manière d'un château Renaissance. Une cour, aujourd'hui disparue, complétait agréablement l'ensemble. A sa mort à Bordeaux (1882), le cardinal légua sa demeure à la paroisse. Elle fit office de presbytère jusqu'en juin 1909, date de l'expulsion du curé Grata et de ses vicaires par les forces de l'ordre.
A Firminy, pas moins de sept municipalités se sont succédé avant que les Appelous n'obtiennent leur Hôtel de Ville sous le mandat de Mathieu Brossard. En effet, longtemps le conseil municipal se contenta d'appartements loués, notamment, durant vingt ans, dans la maison Clavenard. Le 15 août 1860, la nouvelle église Saint-Firmin fut inaugurée et d'autres projets (halle aux grains, aménagement de routes...) furent pensés pour le centre-ville dont celui d'une mairie enfin digne de ce nom. Cette dans cette intention que le 11 août 1868, le conseil municipal vota l'achat de trois terrains situés place Neuve dont celui de M. Duchêne, pour un prix de 11 600 francs.

Les plans furent dressés en 1876 par M. Chapelon, un architecte stéphanois. En plus des bureaux municipaux, le projet comprenait également deux salles d'asile, c'est à dire, pour l'époque, une garderie d'enfants. Le crédit fut voté au milieu de l'année 1878.

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Le cahier des charges stipulait que le chantier devait favoriser les entreprises locales:
- Grès houiller des carrières de Firminy pour la pierre de taille
- Briques apparentes en provenance des usines de Firminy et les tuiles plates via Saint-Marcellin-en-Forez et Roche-la-Molière
- Les bois étaient fournis par la fôret du Pilat
- Ciment de Grenoble et sable de la Loire pour les enduits de ciment
Une entreprise stéphanoise enleva le marché et les travaux durèrent deux ans. Fin août 1880, un état provisoire des travaux notait un état complet des malfaçons. Et ce sont plus 60 défectuosités qui furent relevées ! La réception définitive des lieux se fit un an plus tard mais étrangement il ne semble pas qu'il y eut une inauguration officielle.
L'hôtel de Ville de Saint-Galmier est certainement un des plus imposants de la Loire. C'est en 1863 qu'Etienne Boisson, à qui l'on doit l'église Sainte Marie, à Saint-Etienne, dresse les plans et devis pour construire une salle de mairie, une salle de justice de paix, les écoles de garçons et les logements des Frères de la doctrine Chrétienne. La construction débute en 1872. Un an plus tard, l'école fonctionne. En 1877, l'Hôtel de Ville et la Justice de Paix sont transférés au rez-de-chaussée du bâtiment de la maison d'école. Cette même année, le bâtiment est inauguré par le maire Forissier. En décembre 1878, après déménagement dans la nouvelle mairie, se tient la 1ère réunion du Conseil Municipal.

En 1879, de nombreuses autres pièces sont envisagées: deux salles d'archives pour la mairie et la justice de paix dans les combles, deux prisons, un corps de garde, un dépôt pour les pompes dans les soubassements. Un préau, en partie couvert, est construit. Un projet d'embellissement de la façade, avec crépi, portes, balcons pour les mansardes et volets, voit le jour. On passe aussi de l'éclairage à l'huile de schiste au pétrole. En 1886, l'architecte Paccaud est désigné pour achever la maison d'école. Les travaux de toiture, des clochetons et cheminées sont prévus pour durer trois années.
Entre 1922 et 1923, l'Hôtel de Ville est restauré. Deux portails neufs en bois sont créés, et les trois autres, en fer, sont restaurés. La murette du perron, en pierre de taille, qui avait été remplacée par une barrière provisoire, doit être remplacée car elle peut être forcée par la foule qui regarde de ce perron les fêtes publiques. Les façades sont recrépies, une partie de la toiture en tuiles est remplacée.
