Le verset 1 de la saga D' de Zell (comme nous l'avons rebaptisée sur nos pages) s'achève sur un " Dieu à l'antique " se proclamant " de la race irritable des poètes ". Il pourrait tout aussi bien se rouler par terre et frapper le sol en criant à la façon de Zénon de Cittium : " Tu me veux ? Me voilà ! "Dans tous les cas l'avertissement est sérieux. Tous aux abris ! ça va chier ! Dieu règle ses comptes avec le monde et Zellmeyer se refait libertaire. " Dies irae, dies illa solvet soeclum in favilla" . On ne plaisante pas. David et la Sybille sont témoins !
Atchoum ! Qui a dit TsimTsoum ? D' éternue et le monde n'est plus. Mais ce n'est qu'un voeu pieux; Zell s'éternise et il y a maintenant du monde dans les arrières-mondes. 3ème volet de la divine comédie façon Zellmeyer. A vos souhaits !